Il quitte avec l'allégresse d'un enfant devant un beau sapin, son costume de Président bien trop grand pour lui, pour celui de policier qui lui a faît écrire les plus belles pages de sa réthorique de bistrot : "Les racailles on va vous en débarrasser ma petite dame" et "Casses-toi Pov' con" (florilège des meilleurs passages de son oeuvre)
Il est reparti dans ce qu'il fait de mieux. A savoir pourfendre la petite délinquance de quartier et rassurer les braves gens qu'ils pourront enfin, vivre en paix , avec l'insécurité sociale que sa politique gouvernementale produit depuis 2007.
Mais à part le chômage grandissant, le pouvoir d'achat qui fout le camp.....la petite dame en question ne voit rien venir.