Les grandes écoles craignent de se voir imposer un quota de 30% d'étudiants boursiers, dénonçant "la baisse du niveau moyen" conséquente. "On ne mettra pas de quotas", tempère Valérie Pécresse, alors que les critiques fusent contre elles.
Cette crainte "de baisse de niveau" est d'un risible qui confine à la bêtise amnésique.
La question essentielle en la matière : Mais d'où sont sortis les grands penseurs du libéralisme financier qui ont précipités le monde dans une crise sans précédent, sinon des grandes écoles.
De quel niveau parlent-elles.......de celui formaté à l'école du libéralisme dogmatique qui anesthésie les plus brillants élèves pour en faire de servile et obséquieux auxiliaires de propagande des idioties les plus néfastes pour les économies réelles et les peuples dont la subsistance en dépend.
Faire rentrer des gens réalistes (les boursiers) en phase avec la société civile, mais non moins brillants, ne pourrait que redorer le blason de ses institutions qui se sont fourvoyées dans une éducation pour boursicoteurs psychopathes, "sérial killer" de la finance et assassins des principes Républicains