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20 février 2018 2 20 /02 /février /2018 20:10

Trop de pesticides dans les fruits, les légumes, des substances nocives dans  l’alimentation en général. Des pollutions des océans, des rivières, des déforestations massives menacent la santé et au-delà la vie sur terre. L’obsolescence programmée des produit industriels…..etc…etc … 
Le commun des mortels pense qu’il suffit de décider de produire bio et d’arrêter l’obsolescence programmée. Si c’était aussi simple, je pense que malgré la défiance que nous pouvons légitimement avoir envers les hommes et femmes politiques de notre pays, çà serait fait depuis longtemps.
Mais quelle est le crédo du libéralisme financier depuis 30 ans : compétitivité, concurrence en somme productivisme à outrance. Donc en d’autres termes une économie de la quantité, alors qu’il faudrait une économie de la qualité.
Mais là encore, ce serait simpliste de dire qu’il suffit de le décréter pour l’adopter.
Car quid des agriculteurs, des industriels … à qui l’on a vendu ces dogmes imbéciles dont la finalité n’est pas le bonheur humain mais la croissance des productions et donc en finalité du capital. Ils ont donc investi financièrement  dans ce sens pour créer leur entreprenariat dans cet environnement libéral du toujours plus.
Quant aux consommateurs, on leur propose depuis plusieurs décennies un choix immense de produits alimentaires ou autres en leur vendant le concept du bonheur à travers la sur consommation avec comme corollaire un immense  gâchis des ressources (40 % dans l’alimentation par exemple).
Il est donc impossible de changer quoi que ce soit dans cette doxa libérale qui a marqué les esprits et créée des inégalités sociales et patrimoniales trop diverses pour attendre de la sagesse humaine un indispensable changement de paradigme  économique et social.
Je crains que pour accéder à la transformation de la société où l’on remettra l’humain, le vivant et l’écologie  au centre des préoccupations humaines pour préserver notre bien commun,   à savoir une Planète vivable pour les futures générations, l’humanité devra passer par le chaos où nous conduiront inexorablement les dogmes imbéciles du libéralisme financier.
Si quelqu’un est plus optimiste, je suis preneur.

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12 janvier 2018 5 12 /01 /janvier /2018 15:06

 
Depuis quelques temps, on nous assène des vérités de part et d'autres. Les unes sont continuellement victimes d'attouchements  et de frottements libidineux dans le métro....... Les autres ont soif de sexe et parfois de viol où elles pourraient trouver du plaisir.... Et dans tout çà, "la tendresse bordel...!"

Pour le métro, j'ai une solution : faire en sorte que les gens soient transportés dans des conditions dignes où chacun auraient  sa place (et non des wagons à bestiaux aux heures de pointe) et où l'on pourrait détecter facilement  les malades obsédés de sexe à la petite semaine. 

Je propose aussi que le respect entre tous les individus (femmes ou hommes) soient la règle dans tous les domaines de la société. Force est de constater que ce n'est pas le cas dans ce monde de compétitivité, de concurrence et d'ultra consommation dans lequel nous vivons. Un peu plus de citoyenneté ne nuirait pas aux contacts humains et au delà au relations amoureuses, sexuelles et cela dans le respect mutuel. Jamais dans ce débat est posé la condition des femmes qui sont prostituées (souvent subie) au bon vouloir de clients que nos chers politiques n'ont d'ailleurs pas voulu pénaliser. Entre le viol et l'abstinence existe toute une palette de possibilité de rencontrer l'âme soeur (ou frère selon) sans pour autant que cela soit considérer comme une agression sexuelle. C'est le cas du sifflement (pas du meilleur goût je l'avoue, mais delà à le criminaliser....) la demande du 06 ou tout autre moyen non violent et non insultant pour la personne qui en est  la ou le  destinataire.... 

Car sinon la rencontre entre la femme qui veut ne pas passer pour une salope et le type qui ne veut pas passer pour un harceleur risque de ne jamais avoir lieu... C'est plutôt une bonne information pour le business des sites pornographiques  sur internet, l'onanisme au delà de 25 ans et les audioprothésistes (car il paraît que çà rend sourd......rires)

Un peu d'humour, d'humanité et de convivialité devraient permettre de dépasser les lignes de tous les extrémismes pour continuer à se rencontrer et à s'aimer dans la préservation de la dignité de chacun.

Il faut raison garder.....!

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24 novembre 2017 5 24 /11 /novembre /2017 17:51

 

Pourquoi vouloir que les  hommes et les femmes soient égaux. Dans le dico commun : Egal = qui est semblable, soit en nature, en quantité ou en qualité.   La nature en a fort heureusement décidé autrement. Sinon  la vie serait bien terne. Si je devais  me retrouver vivre le quotidien avec un(e) individu(e)ayant la même nature, la quantité ( ?) et la qualité ( ?), cela  m’ insupporterait. Ce n’est pas, à mon humble avis, une question de sexe ; mais une question de droit à l’égalité des individus,  peu importe qu’ils soient hommes ou femmes. Car je pense qu’une femme blanche (ou noire, voire chinoise….) ayant fait des études supérieures est certainement mieux considérée, insérée dans la société et donc à même de faire valoir ses droits qu’un homme noir (ou blanc, chinois…) sans aucun diplôme. Eh, oui c’est une question d’éducation, de formation et du  type de société que nous voulons qui permettra de mettre l’égalité au cœur de nos cités. Sinon ce sera comme tous les sujets que nous semblons découvrir tous les cinq ans sans trouver une réelle parade (le manque de logement des étudiants, le délabrement de nos prisons, la lenteur de la justice, les déserts médicaux…….etc…..) et que nous oublions aussi rapidement qu’ils ont été propulsés à la une de nos médias.

Je suis consterné devant tant de duplicité de celles et ceux qui semblent découvrir que la femme est un objet avant tout pour une grande partie de la population masculine.  Quid de la prostitution qui est souvent présenté d’une manière humoristique comme le « plus vieux métier » du monde, et qui ne semble pas heurter la sensibilité de ces grands défenseurs de la cause féminine quant à la marchandisation et l’esclavage de femmes du tiers monde, voire des enfants. Je rigole jaune quand on assimile l’action, souvent maladroite et pas toujours de meilleur goût, du dragueur qui devrait être assimilé à l’harceleur. Quid de la rencontre qui n’aura jamais lieu, entre la femme qui ne veut pas paraître facile et la peur du  type  de  passer pour un harceleur. Les films pornos, les sites de rencontre « marrons » et la masturbation au-delà de 16 ans auraient de beaux jours devant eux.

Madame  Schiappa, secrétaire d’Etat chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes, nous abreuve continuellement de litanies pro-féminines avec  une certaine efficacité dans la communication, ne semble pas atterrée de ce que la nouvelle loi travail envoie comme message à ceux qui, dans le cadre de l’entreprise, s’adonnent au harcèlement sexuel envers les femmes souvent seules et fragilisées. Quid du concept de licenciement abusif prévu par la loi qui permettra à ses derniers de virer celles qui ne voudraient pas se laisser faire pour en trouver d’autres plus arrangeantes….

Merci qui.. ?

Merci M. MACRON

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6 mai 2013 1 06 /05 /mai /2013 16:00

Non sur les élites, mais sur leurs idées :

La droite : "Travaillez plus pour gagner plus.."

La gauche au pouvoir : "Il faut  retrouver la croissance et rembourser la dette..."

Approximativement la même solution avec d'autres termes. Même si des nuances existent dans la façon de traiter les sujets . Une droite qui privilégie l'intérêt particulier sur le collectif (donc pas très Républicaine). Une gauche qui voudrait rétablir la justice sociale Républicaine, mais sans y parvenir, car les recettes employées sont teintées d'idéologie libérale....

 

Il suffit de traverser la France pour se rendre compte que les commerces ferment les uns après les autres .....lire la presse, regarder la télé pour s'apercevoir que les entreprises industrielles déposent le bilan ou  licencient....et puis pour ceux qui ont un boulot, de constater la baisse constante des effectifs.....La technologie aidant nous remplaçons progressivement la caissière du super marché, l'employé de la poste , de la banque, comme celui du péage (.....etc....etc)  en effectuant leur travail....

alors que la population ne cessent de croître. Donc le chômage risque de s'amplifier si nous restons sur ces deux positions d'attente qui se révèlent infructueuses depuis 10 ans.

Nous devons rompre avec les bonnes vieilles recettes du libéralisme à tout crin que sont la compétitivité, la  concurrence et la croissance infinie....Autant de concepts qui ne correspondent plus à la réalité du monde actuel et surtout des capacités de notre planète à  pouvoir digérer cette gabegie permanente.

  Nous en sommes arrivés là avec ce concept de création des Etats unis d'Europe qui a été galvaudé et vidé du sens commun   pour se transformer en un marché géant où la dérégulation est la pierre angulaire et la philosophie le profit  financier  immédiat....

Que faire ?

Rester dans le train fou qui va emporter tous  les peuples d'Europe dans la tourmente, sauter en marche....ou reconsidérer le parcours du train.....

J'avoue ne pas avoir la réponse toute faîte, celles des expets qui nous endorment depuis 20 ou 30 ans.

Ce que je sais, c'est qu'on est mal barré.......et qu'il y aura de la casse

Ce matin, j'ai eu un début de réponse. L'arrivée d'une personne  espagnole de la classe moyenne (quarantaine d'année) qui vient chez nous pour trouver du boulot. Et croyez moi, Ce n'est pas de gaîté de coeur, car  elle est venue nous voir pour apprendre le Français avec dico et bouquins appropriés. Outre le côté sympathique d'accueillir un Européen étranger, j'y vois le début de la fin d'une Europe qui va éclater de partout.

J'avoue avoir le secret espoir de me tromper

 

 

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29 mars 2013 5 29 /03 /mars /2013 11:24

emission-le-billet-de-francois-morel-la-situation-est-grave

 

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3 juillet 2012 2 03 /07 /juillet /2012 12:18

En un siècle, la durée du travail a été divisée par 2, alors que dans le même temps la productivité a été multipliée par 20, ou 25 selon les études.

 "L'humanité sort de deux siècles de développement euphorique, deux siècles d'une apparente abondance et de gaspillage insensé dont les stigmates apparaissent ...." (source science et vie de mai 2012) 

Au délà du pétrole et du gaz dont la pénurie sera tangible au cours du siècle :

il reste 38 ans de réserve pour le cuivre, 46 ans pour l'uranium, 20 ans pour l'or et le zinc.....etc....etc.

  • L'UMP nous dit : il faut travailler plus
  • Le PS nous dit : il faut relancer la croissance
  • La gauche alternative  nous dit : il faut partager le travail et les fruits de la croissance
  • Les écolos nous disent : il faut modifier nos modes de production et consommation

 

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6 février 2012 1 06 /02 /février /2012 13:59


Dans son projet, le logement figure parmi les engagements forts du candidat avec des mesures énergiques qui devraient permettre de changer la vie des Français qui veulent louer un logement dans le parc privé ou accéder à un logement social.  

 

  • - Dans les zones où les prix sont excessifs, je proposerai d’encadrer par la loi les montants des loyers lors de la première location ou à la relocation. Je mettrai en place pour les jeunes un dispositif de caution solidaire.

  • - J’agirai pour que soient construits au cours du quinquennat 2,5 millions de logementsintermédiaires, sociaux et étudiants, soit 300 000 de plus que lors du quinquennat précédent, dont 150 000 logements très sociaux, grâce au doublement du plafond du livret A.

  • - Je renforcerai la loi SRU, en multipliant par cinq les sanctions qui pèsent sur les communes refusant d’accueillir les ménages aux revenus modestes et moyens.

  • - Je porterai à 25% les exigences en matière de construction de logements sociaux et je favoriserai la mixité sociale en imposant une règle des trois tiers bâtis : un tiers de logements sociaux locatifs à loyer modéré, un tiers de logements en accession sociale, un tiers de logements libres.

  •  - Je mettrai gratuitement à disposition des collectivités locales les terrains de l’État qui sont disponibles pour leur permettre de construire de nouveaux logements sociaux dans un délai de cinq ans.
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18 janvier 2012 3 18 /01 /janvier /2012 09:51

Jugez en  vous-même ?

1 croque monsieur, 1 sandwich club, 1 verre de vin, 1 coca = 75 €uros

 

 A ce prix là , on comprend mieux pourquoi ils ont fait le bouclier fiscal, la baisse de l'ISF et une fiscalité avantageuse pour le patrimoine et le capital.

 

                    Aux urnes citoyens.....

afin qu'ils retrouvent le sens des réalités et le chemin du petit troquet de quartier...

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20 décembre 2011 2 20 /12 /décembre /2011 08:45

Martin Hirsch, ancien Haut-Commissaire aux solidarités actives contre la pauvreté, a présenté mercredi 14 décembre un rapport réalisé pour la fondation Terra Nova et intitulé "Pour une régulation des hautes rémunérations". Lire le rapport ci-dessous et sur le site de Terra Nova, ainsi que les onze propositions pour lutter contre la flambée des hauts revenus.

Pourquoi ce rapport ?

Parce que la question des rémunérations n’est plus juste morale, individuelle ou anecdotique. Elle a un impact "macro" sur les équilibres sociaux, économiques et les comptes publics. Cette question n’est plus dissociable du fait social et de la problématique de la pauvreté, qui est au centre de mon champ d’action. Par ailleurs, je trouve qu’il existe un gouffre entre la surenchère des dénonciations à chaque dérive individuelle… et la pauvreté des propositions globales. Les codes de bonne pratique n’ont pas fondamentalement changé la donne. Ceux qui jusqu’ici ont poussé des cris d’orfraie n’ont pas forcément intérêt à ce que ça change : d’un côté, Mélenchon : c'est son fonds de commerce ; de l’autre, l’indignation d’acteurs économiques et politiques, mi sincère mi cynique. Quant au Parti Socialiste, il a contourné la difficulté en limitant ses propositions aux entreprises de la sphère publique.

En quoi la question des très hautes rémunérations impacte-t-elle toute l’économie ?

Après l’appel "Taxez-nous" des super-riches dans Le Nouvel Observateur, l’été dernier, on a entendu des patrons dire : l’explosion des hautes rémunérations des dirigeants ce n’est pas le cœur du problème ; l’urgence, c’est que l’Etat soit capable de réduire ses dépenses. Les mêmes me disaient il y a quelques années : je donnerai volontiers de l’argent pour Emmaüs ou des initiatives sociales, le jour où il y aura un bouclier fiscal en France... . Or, les comportements n’ont pas fondamentalement changé.

Notre analyse, c’est que les très hautes rémunérations ont leur part de responsabilité dans l’augmentation des dépenses publiques. Le rapport du Conseil d’Analyse Economique de 2008 l’a bien montré : en France, la part des salaires dans la valeur ajoutée est restée stable depuis 20 ans mais les 10% des salaires les plus élevés ont capté les trois-quarts de la richesse au cours de cette période ! Les 80% du milieu ont régressé. Tandis que les 10% les plus défavorisés ont vu leur situation s’améliorer légèrement, grâce à la hausse du Smic et des prestations sociales. Du coup, pour tenter de réduire les inégalités, de maintenir la cohésion sociale en France, on a compensé ce déséquilibre par la hausse des prestations sociales. Donc, l’échappement des plus hauts salaires déclenche des dépenses publiques ! Aux Etats-Unis, ils ont essayé de compenser les inégalités par la course au crédit immobilier et à la consommation, avec les résultats qu’on a vus en 2008.

Du coup, vous estimez que c’est un sujet d’intérêt général ?

Absolument. Si on admet que ce problème a un impact sur l’économie, l’emploi, le social, on doit discuter publiquement des très hauts salaires, au même titre que du Smic. Quelle est la juste rémunération d’un patron ? Faut-il un écart maximal dans une entreprise entre les plus bas et le plus haut salaire ? Jusqu’à présent, ces questions étaient considérées comme tabou : ça ne regardait que les intéressés. Il est urgent de briser cet "entre soi". Il est à cet égard significatif que notre travail ait été co-présidé par Gaby Bonnand, responsable syndical. Parmi les onze recommandations que nous formulons, il y a la création d’une Conférence régulière sur les hautes rémunérations, qui comprendrait patronat, syndicats, économistes, etc. pour élaborer des références communes... Cela pourrait notamment inspirer des réformes fiscales plus justes ! Les plus hauts revenus profitent d’une situation exceptionnelle, mais veulent souvent bénéficier du régime mis en place dans l’intérêt général du plus grand nombre, tellement moins aisés, comme l’illustrent les retraites chapeau.

Qu’est-ce qui vous a le plus frappé dans ce travail ?

Le plus insensé, c’est l’augmentation des revenus des dirigeants de banque en 2010. On subit les conséquences de la crise de 2008, on a mis des règles sur les bonus et entendu des engagements de modération. Or, sur l’année dernière, l’augmentation moyenne est de … 44,5% !

Les patrons justifient le niveau de leur rémunération par leur bonne gestion…

On avait déjà cherché en 2009, avec Jean Gatty, la corrélation entre la rémunération des dirigeants et les performances sur dix ans de 100 entreprises moyennes de la bourse de Paris. Or, surprise : en termes de valeur créée, la corrélation est plutôt inverse ! C’est vrai aussi d’un point de vue historique : ce sont pendant les années "piteuses" en terme de croissance et d’emploi, que les rémunérations des dirigeants ont été les plus glorieuses. Bien entendu, il existe des exceptions, comme les entrepreneurs actionnaires de la société qu’ils ont eux-mêmes développée. Nous ne dénions absolument pas aux gens le droit de s’enrichir grâce à leur talent. Nous proposons cependant qu’une partie de la rémunération soit composée d’actions bloquées pendant cinq ans, délai nécessaire pour apprécier les résultats d’une bonne gestion.

Et l’argument selon lequel les dirigeants du privé pourraient quitter la France, s’ils étaient "surtaxés" ?

Peu de gens prétendent qu’il existe réellement un marché mondial des grands patrons. Il y a très peu d’exemples, la question se posant davantage pour le niveau hiérarchique juste inférieur. L’inflation des rémunérations des plus hauts dirigeants est davantage lié à la consanguinité des conseils d’administration, Ce n’est pas la "main invisible" du marché… mais plutôt le fait de "trois doigts de la main" en comité de rémunération ! D’où les propositions de faire voter l’assemblée générale et de limiter les cumuls de mandats.

Il est certes possible qu’en cas de baisse drastique des hautes rémunérations, on perde quelques bons managers, qui ont l’argent comme critère de reconnaissance. Mais, n’existe-t-il pas un vivier de talents, formés dans nos belles écoles, prêts à s’investir davantage ? Et si je puis dire, le traitement que nous préconisons, même s’il a quelques effets secondaires, a un bon rapport bénéfices/risques.

Interview de Martin Hirsch, ancien Haut-Commissaire aux solidarités actives contre la pauvreté de mai 2007 à mars 2010, par Stéphane Arteta, Dominique Nora et Thierry Philippon.

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23 novembre 2011 3 23 /11 /novembre /2011 07:35
GRD.jpg"Bosser comme les Allemands et payer comme les Chinois"
(extrait humoristique du journal de Groland sur canal +)

mon commentaire :

C'est succinct, mais çà a le mérite d'être clair...

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