Nous rappelons au Président de la République de tenir la promesse qu'il a fait lors d'un discours
le 18/12/2006
"Je
veux, si je suis élu président de la république, que d'ici à deux ans, plus personne ne soit obligé de dormir sur le trottoir et d'y mourir de froid. Parce que le droit à l'hébergement, je vais
vous le dire, c'est une obligation humaine. Mes chers amis, comprenez-le bien : si on n'est plus choqués quand quelqu'un n'a pas de toit lorsqu'il fait froid et qu'il est obligé de dormir dehors,
c'est tout l'équilibre de la société où vous voulez que vos enfants vivent en paix qui s'en trouvera remis en cause."
Excellent, risible....on croit rêver, mais c'est bien la réalité d'une petite cour de fayots et d'incapables.Une parodie de gouvernance napoléonienne, façon "Michou ".
http://kerjolystraumatisme.over-blog.com/
René Dumont a été pris pour un "charlot" quand il est venu bousculer le discours convenu sur la croissance économique et son rapport à l'équilibre écologique de la planète, lors des élections Présidentielles de 1974.
40 ans après, tout le monde épouse, avec ou sans arrières pensées, ses thèses.
Comme quoi "les clowns utopistes" peuvent déclencher l'hilarité narquoise sur le moment et susciter la prise de conscience collective plusieurs décennies plus tard.
Donc cherchons "les clowns" du moment pour connaître nos préoccupations d'avenir, au lieu de se laisser bercer par le disours convenu des experts.
On ne compte plus tous les jours les manques de respect et autres incivilités qui sont dénombrées dans notre pays.
1°) La profession des restaurateurs qui n'est pas capable de tenir ses engagements en matière de compensation (embauche, baisse des prix de vente...) de la baisse de la TVA.
2°) L'armée qui ne veut pas aider la justice pour faire toute la lumière sur le nauffrage du bugaled breizh
3°) Le magistrat suprême de la République qui renie ses engagements (Gandrange, la méritocratie,la banlieue, l'hôpital, l'emploi, le pouvoir d'achat.....)
Je propose donc que l'on rétablisse les vertus de l'exemplarité comme modèle pour la jeunesse et non les incantations incessantes à vouloir stigmatiser cette jeunesse qui s'adapte fort judicieusement aux travers de ses aînés.
Voilà une révélation.
Nicolas SARKOZY, devant la médiocrité des membres du gouvernement, tant sur la relance que sur la gestion de la crise....pense nommer son fils Louis (âgé d'une dizaine d'années) ,qui vient de rentrer au CE1 avec "briault" (Briault étant un copain de longue date), au poste de premier ministre. les thèmes récurrents de la droite moderne :
L'immigration (la peur de l'altérité)
La sécurité (il faut travailler les esprits dans ce sens...par le discours percutant....sans solution...çà plaît aux vieux...)
La baisse des Impôts (pour les riches..... vu que les pauvres n'en paient pas)
Un programme simple pour des esprits simples....un seul mot d'ordre ....La peur
Népotisme, favoritisme....je comprends l'angoisse du papa devant l'avenir incertain de ce potache sous-doué (seconde année de droit à 23 ans).......(rires)
Pour Didier Migaud, le monsieur finances publiques au Parti socialiste, la réponse ne fait aucun doute: l'Etat fait une très mauvaise opération. Avec le système de prêts qui a consisté à souscrire à des actions de préférence ou de titres subordonnés émis par BNP Paribas, il s'est privé d'une plus value de 113%. S'il avait acquis de simples actions BNP Paribas à leur cours de mars dernier tombé autour de 27 euros, l'Etat aurait pu revendre aujourd'hui ses titres près de 58 euros pièce. Soit une plus value en valeur absolue de 5,8 milliards. A comparer aux 5,1 milliards de capital remboursés par BNP Paribas auxquels s'ajoutent 226 millions d'intérêts courus sur sept mois. Et au passage, l'Etat, avec ses actions ordinaires, aurait été en droit de siéger au sein des instances d'administration de la banque.
Moralité : le gouvernement spécule sur la disparition de la santé pour tous et des services publics, mais semble incapable de spéculer sur le capital des banques et des établissements financiers, histoire de renflouer les trous abyssaux qu'il a creusé avec le paquet fiscal, dont on mesure tous les jours l'inefficaité tant en terme e relance que d'emploi.
Depuis leur castration, ces individus n'ont même plus une seuile idée de Gauche....
(source : Groland mag'zine)
Un encouragement à rompre, dans les faits,avec la politique primaire d'affrontement de "dobble you"
Un encouragement à guider l'Amérique vers une politique économique et sociale prenant en compte l'environnement
Un encouragement à sortir l'Amérique de ses préceptes du libéralisme et d'y insuffler du social, en dépit des cow boys imbus de leur personnalité et dont le cerveau n'est pas plus développé que celui d'un gastéropode.
Les grandes entreprises appartiennent à la collectivité nationale quand elles perdent de l'argent...et qu'il faut les renflouer
mais dès qu'elle regagnent de l'argent, elles redeviennent privatisées.
En d'autres termes c'est :" la mutualisation des pertes et la privatisation des bénéfices"
Il fallait y penser.
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