Nous rappelons au Président de la République de tenir la promesse qu'il a fait lors d'un discours
le 18/12/2006
"Je
veux, si je suis élu président de la république, que d'ici à deux ans, plus personne ne soit obligé de dormir sur le trottoir et d'y mourir de froid. Parce que le droit à l'hébergement, je vais
vous le dire, c'est une obligation humaine. Mes chers amis, comprenez-le bien : si on n'est plus choqués quand quelqu'un n'a pas de toit lorsqu'il fait froid et qu'il est obligé de dormir dehors,
c'est tout l'équilibre de la société où vous voulez que vos enfants vivent en paix qui s'en trouvera remis en cause."
Dans une catastrophe financière sans précédent avec des conséquences sociales dont on a toujours pas vraiment mesurées l'Impact
Les dit "Marchés financiers" seraient inquiets de la solvabilité de ces pays.
Que ne l'ont-ils pas fait savoir quand ces mêmes pays lançaient à coup de milliards le sauvetage des banques malades de leur propre spéculation
Mais c'est l'hôpital qui se fout de la charité...
C'est un peu, comme si les truands étaient inquiets de la pauvreté des gens qu'ils ont dépouillés
La bourse en soi est une bonne chose dès l'instant où elle permet à des agents économiques de mobiliser (vendre) les actions qu'ils possèdent pour réaliser un autre objectif économique ou acheter des actions avec leurs. liquidités.
Mais il est clair que des intermédiaires telles les grandes banques et autres établissements financiers importants peuvent influencer le cours d'une ou plusieurs valeurs par des ventes ou achats massifs qui rendent le marché boursier incertain et dangereux pour le petit actionnaire épargnant et fragilise l'image à terme de l'entreprise. La constitution de Société de gestion collective (SICAV) et autres fonds d'investissements tendent à accélerer ces phénomènes spéculatifs dont l'impact sur l'économie est dévastateur se nourrissant de la détruction des emplois et des richesses produites.
Oui à un marché régulé, encadré qui va dans le sens d'une fluidification de l'argent qui permet aux possesseurs de capitaux et à ceux qui en recherchent de se rencontrer avec l'objectif final d'assurer la croissance économique (emplois, investissements....)
Non à un marché où seul l'aspect financier à court terme prédomine et dont les conséquences sont catastrophiques pour la véritable économie. La crise que nous traversons actuellement est à ce propos édifiante. Des traders qui s'enrichissent en créant le chaos et des agents économiques (PME/PMI et leurs salariés) qui subissent les conséquences de cette inconséquence.
Que ce soit
- Les pollutions générées par les bateaux poubelles qui transportent le pétrole pour les grands groupes pétroliers
- Les dérives du système financier international qui détruisent des centaines de millions d'emplois et sèment la paupérisation des populations des pays du sud
- Les logiques de délocalisation à moindre coût qui rappellent aux grands groupes industriels (notamment TOYOTA, PEUGEOT...) que le travail n'est pas seulement une valeur comptable, mais plutôt un savoir faire qui ne s'exporte pas aussi bien que la volonté de s'enrichir plus rapidement....
.....etc....etc...
Le débat est lancé
Derrière ces biens collectifs et ces protections collectives que nous avons voulu mettre en place partout, il nous faut penser à l’individu. Il nous faut personnaliser les réponses. Il nous faut prendre chaque enfant avec ses atouts et avec ses besoins. Il nous faut accompagner chaque personne âgée, jusqu’au bout du chemin.
Tout cela pour dire que nos réponses ne doivent pas être celles d’hier......
Notre rêve, c’est celui de la fraternité....
Pour approfondir
http://baiedesomme.blogspirit.com/archive/2010/01/07/notre-reve-c-est-celui-de-la-fraternite.html
Chez notre ami traumatisme
Si nous avions des doutes sur les objectifs sarkoziens de mettre la justice à son seul service.
Défendre un adversaire de la droite démocratique comme de Villepin contre les attaques d'un pouvoir inique me semble être une nécessité Républicaine.
De villepin restera pour nous celui qui a su dire Non à l'aventure irakienne de BUSH
Et Sarkozy, celui qui a abaissé les valeurs de la France au niveau de la fatuité qu'il dégage malgré la vacuité de ses idées.